Il était une fin

Parce que naître c’est avoir la certitude de mourir un jour. L’histoire de la vie, c’est aussi l’histoire de la mort, même si personne n’est pressé de la voir arriver, un jour, elle sera là.

A force d’en avoir peur et de la fuir à tout prix, on oublie que ce passage peut aussi être l’occasion de mettre plus de conscience dans la vie.



Toutes les histoires commencent par « il était une fois », ici, je vous propose d’écrire le dernier chapitre en accordant un espace conscient autour du passage de la mort.

Il n’est pas obligatoire de suivre le rythme effréné de la société, vous avez le pouvoir de décider du tempo et des actions.

Je vous ouvre ici une porte d’un possible accompagnement de la mort qui permet au vivant d’être respecté dans ses besoins.


Ne pas « prendre en charge », mais accompagner, me semble être plus juste. Et pour faire des choix, il faut avoir les informations et se sentir soutenu. Lorsque vous devenez acteur, vous devenez autonome et vous décidez. Cela change toute votre perception du moment.